L’art japonais du kirigami (de kiru « couper » et kami « papier ») consiste à plier et à découper extrêmement finement un motif avec un cutter de précision dans une seule feuille de papier (souvent du papier de murier, le washi), sans repentir.
Le Katazome désigne la technique de teinture dans laquelle on utilise un pochoir, découpé à la main dans du papier washi, pour créer des motifs en réserve sur du tissu teint à l’indigo.
Au XIXe siècle, de nouveaux procédés d’imprimerie permettent l’impression et la reproduction facile et économique d’un texte ou d’une image. Le photographe japonais Ogawa Kazumasa ouvre en 1889 la première imprimerie de phototypie-collotypie du Japon et imprime des photographies de fleurs qui sont ensuite peintes à la main.
D’abord fonctionnelle, la vannerie japonais se détache peu à peu de la contrainte formelle liée à la cérémonie du thé et à la décoration florale associée. A partir du 19e siècle, les artisans, en concevant des formes libres, érigent ce savoir-faire en art.
Chez Wakobo Houyou, une boutique de Kyoto, l’art traditionnel mizuhiki est décliné de mille façons dans des créations d’une finesse incroyable.
Le furoshiki est une pièce de tissu qui sert d’emballage-cadeau. Un art japonais pour envelopper de façon vertueuse et écologique ses cadeaux.
Souvent copiée, jamais égalée, la boule japonaise de la collection Akari du designer Isamu Noguchi inspire décorateurs et designers à un prix, il est vrai, nettement plus accessible.
Le papier journal se prête à la confection d’une fibre solide, prête à crocheter ou à tricoter. L’idée consiste à rouler sur elles-mêmes de fines bandes de papier déchiré. On peut même réaliser un rouet pour filer cette fibre originale. DIY
Des d’accessoires japonais. Imparfaits, comme je les aime, et poétiques par la créatrice Chitose K. qui maîtrise aussi bien la céramique que la couture.
Entretien avec et par Caroline de la Garanderie, coach, qui propose sur son site, Ta vie en mieux, des ateliers de développement personnel et professionnel. Elle fait le point sur la notion japonaise d’ikigaï que l’on peut traduire par « joie de vivre » ou « raison d’être » et sur la construction de cet outil.
Une sensibilité commune se dégage de ces 7 comptes Instagram de créatrices textiles japonaises qui excellent en broderie.
La marque japonaise de parfum d’intérieur Ballon produit des sachets et des ornements à parfumer parfaitement immaculés et délicieusement décalés.
Le kumihimo est l’art du tressage traditionnel japonais et permet de créer des cordons et des rubans de soie.
Le sashiko est une technique traditionnelle de broderie japonaise qui permet la création de motifs en jouant sur la répétition et la géométrie de petits points.
Les lapins miniatures cousus main de la boutique Nikomaki évoluent dans un univers à leur taille qui comprend un grand nombre d’accessoires également faits main. Mignons, vraiment mignons.